Acte I : Un enjeu de taille (PV Marine et Gouvernement Mondial)

L'ordre de la mission provenait d'en haut, Sengoku devait se rendre avec plusieurs navire sur Grandline, plus précisément sur l'île de Gold Island, cette île se trouvait dans le troisième passage de Grandline. L'objectif de la mission était de reprendre cette île, car selon les rapports qu'avait reçu le quartier général de la marine, une concentration de soldat de la révolution y stationnerait, le seul fait d'avoir localisé des membres de la révolution était une bonne raison pour lancer des soldats de la marine, mais ce n'était pas tout, non, Gold Island était une île très riche, en effet l'île avait des ressources importants, l'île était une des rare du globe à avoir des ressource miné raire, plus précisément de l'or et dans ce monde, l'argent était le nerf de la guerre, alors si des soldats de la révolution se trouvaient sur cette île, la marine devait faire le maximum afin de ne pas laisser cette île à leur ennemie, car l'argent est le nerf de la guerre et la marine comptait bien contrer toute action de la révolution. Durant tout le trajet, Sengokuétait poser sur un hamac, il se contentait de se reposer et de garder ses forces au cas où il aurait à devoir marcher sur la voie des armes, voie qu'il n'aimait pas mais qu'il devait arpenter de temps en temps afin d'imposer la paix dans le monde. Sur cette mission, le Vice-lieutenant Sengoku Basara n'était pas le commandant, non, il n'était pas assez haut gradé pour cela, mais il était un des sous-officier déployer afin de faire de cette mission un succès, lui qui était le justicier impitoyable, le maître du ciel, n'était qu'un simple cadre dans cette mission, en réalité il n'était en rien un maître du ciel, mais il aimait bien ce surnom, il s'était auto-proclamer maître du ciel depuis qu'il était devenu Vice-lieutenant et depuis ce jour, il aimait que ses subordonnés l'appelle ainsi, mais une chose était certaine, Sengoku était impitoyable quand il s'agissait d'appliquer la justice, quand il se décidait de ne pas fermer les yeux sur certains agissements, alors le Vice-Lieutenant se donnait corps et âme afin de rétablir l'équilibre du monde.

Les navires des soldats de la marine se rapprochaient de plus en plus de l'île en question, d'après le navigateur qui était derrière la barre du navire sur lequel Sengoku était couché, l'île ne devait plus être bien loin, le navigateur était incapable de donner le temps exact qui séparait la petite flotte de navire à l'île, mais ce n'était pas grave, les soldats allaient devoir prendre leur mal en patience et attendre, attendre encore et encore, car se presser ne servait à rien, les ennemies n'allaient sans doute pas partir, enfin s'il y avait des ennemis, car cela était une information et n'était pas confirmé, autant dire que pour une simple opération non confirmer la marine avait détaché beaucoup d'hommes, si on comptait le nombre de soldat envoyé, la marine avait envoyé 2000 soldats ainsi que quelques Sous-officiers et deux officiers, deux Colonel de la marine. Autant dire que le nombre était quand même réduit, mais il ne fallait pas espérer plus, car dans le rapport, aucun nombre exact d'ennemi avait été marqué, donc il s'agissait d'une énigme totale, combien étaient-ils ? 10 ? 100 ? 1000 ? Plus ? Moins ? Personne ne pouvait le dire, mais dans tous les cas la marine avait déjà prévu un plan de secours, si les révolutionnaires étaient plus nombreux, la marine enverrait plus de soldats et si les révolutionnaires étaient moins nombreux, alors les soldats détacher n'auraient aucun mal à les arrêter. Après une bonne demi-heure dans une mer très agitée, les navires arrivèrent enfin près des côtes de Gold Island, le temps n'était pas terrible et annonçait bientôt que la pluie allait tomber, avec un temps pareil, il allait être difficile de se battre surtout pour Sengoku, mais ce n'était pas grave, pour le moment il allait devoir redoubler d'attention, car ils venaient d'entrer en territoire ennemi et ne savaient pas quand un piège allait apparaitre. Les navires jetèrent l'ancre et les hommes débarquèrent par chaloupe, debout sur la chaloupe qui devait le conduire sur la terre ferme, Sengoku se tenait debout, son sabre dans son dos, il se tenait fièrement debout sous une pluie qui ne voulait pas se stopper et regardait l'horizon, comme pour dire qu'il arrivait, cette réaction semblait un peu à une réaction de gamin, mais quand on regardait les deux colonels qui dirigeaient les opérations, Sengoku passait pour un homme sage.

Il fallait dire que les deux colonels qui dirigeaient cette mission étaient des gugus, comment avaient-ils atteint le grade de colonel, Sengoku ne le savait pas et personne non plus, des pots de vins ? Des relations importantes dans la marine ou le gouvernement mondial ? Enfin qu'importe ils avaient été choisis pour diriger la mission et Sengoku n'allait pas remettre en question leur intégrité où leur manière de diriger, il se contenterait de faire ce qu'il a à faire afin de vite terminer cette mission pour rentrer au plus vite à Marineford afin de se plonger dans une méditation où plus simplement afin de piquer une sieste. Sengoku fut le premier a touché le sable de la plage et très vite le reste de l'armée le suivit, même s'il n'était pas le chef de la mission, les deux colonels étaient très lâche, comme pouvait le constater l'ensemble de l'armée, car les deux hommes étaient encore dans leur chaloupe et envoyèrent Sengoku avec quelques hommes faire une reconnaissance avant qu'ils ne décident de descendre de leur embarcation. Voyant l'attitude de ses supérieurs, Sengoku sentit que la mission ne pouvait que prendre deux tournures, la première : la mission est un échec et la seconde : les deux colonels meurt à cause d'un accident bête. Cela pouvait sembler cruel et méchant, mais comment des poireaux pouvaient-ils être colonels ? Après l'inspection d'un bon kilomètre de plage, Sengoku et ses hommes revinrent afin de faire leur rapport, une fois la zone sécuriser, les soldats montèrent un campement afin de ne pas rester sous la pluie, pluie qui ne semblait pas se terminer. Cette île était désertique, mais bizarrement il pleuvait, comment expliquer ce phénomène, n'étant pas météorologue, Sengoku préfera ne pas y penser et resta sur ses gardes, il ne fallait pas être surpris en cas d'attaque inconnu. Totalement dans sa mission, Sengokuavait complètement oublier, qu'il n'était pas le seul Sous-officier affecter à cette mission, d'ailleurs il connaissait bien certains de ses camarades et plutôt que de rester sous une tante à attendre une attaque imaginaire, Sengoku décida de rejoindre les quelques visages familier qu'il avait aperçu plus tôt depuis son navire.

Dante venait d’être avertit qu’il allait prendre la mer sous l’ordre du gouvernement. Pourquoi? Il n’en avait encore aucune idée mais bon cela ne le dérangeait pas étant donnée que depuis quelques temps il s’entraîne sans pour autant se battre. Cela pouvait donc être moyennement un bon test pour lui du moins si cette mission allait être d’éliminer certaine personne. Au début il avait certain doute mais une fois sur le navire quand il vit le nombre de matelot sur ce navire, les quelques sous-officier et deux colonel il comprit qu’il aller avoir de l’action. Le Red Devil comme il ce fait surnommer ne connaissait pas la destination il appela donc un matelot.

-Hoy! Vers qu’elle destination nous dirigeons-nous?

Le marine tout en étant au garde à vous répondis qu’il se dirigeait vers la célèbre île de Gold Island dans le troisième passages de Grande Line. A cette instant Dante compris un peu mieux pourquoi tant d’homme els avait accompagner dont deux colonel qui pour l’instant à première vu ressembler plus a deux idiot qu’a autre chose. Oui il y a quelque jours de sa le sous-lieutenant avait entendu dire comme quoi des Révolutionnaire avait pris le contrôle de l’île et de toute les ressources s’y trouvant. Avec toute l’or qu’il y avait sur cette île il pouvait s’acheter autant d’arme qu’il voulait et donc c’était presque compréhensible que le gouvernement envois tant d’homme mais bon je ne vois pas pourquoi il n’on pas tout simplement confier sa a quelque marine au placer. Bref pour Dante ce n’était pas le moment de réfléchir. Après avoir eût son information, il tourna le dos au matelot qui se mit aussitôt au repos et partie rejoindre ses camarades tandis que Dante lui partie vers une cabine où dans laquelle ce trouvait tout le confort dont il aurait besoin. Il se mit donc coucher, enleva son long mentaux en cuire rouge et l’accrocha sur le mur. Il restait là, coucher comme un mort sur son lit avec juste la ceinture où ce trouvait ses deux révolvers qu’il était d’ailleurs près a sortir au moindre bruit suspect.

Après un bon quart d’heure de sieste Dante se réveilla et voulu savoir quand est-ce qu’ils allaient arriver. Personne ne le savait. The Red Devil fit un tour complet sur lui-même pour voir s’il se passait quelque chose d’intéressant sur le navire et il ne remarqua qu’une seul chose. Les deux colonels entrain de jouer au carte comme des imbéciles. Mais comment ont-il pu atteindre ce rang la? Soit ils ont commis un exploit incroyable sans faire exprès et ont donc était promu a ce rang soit ils ont fait marcher leur relation. Pour Dante ce qu’ils avaient fait n’avait aucune importance mais ils auraient pu au moins mettre des colonels potables dans ce navire. Après une demis heure passée a observer les uns et les autres Dante comprit que sur ce navire il ne pourrait faire confiance qu’a quelque personne pour le combat. Ces personnes ce trouvait être les quelques autres sous-officier de ce navire. Pendant qu’il était dans ses pensée une voix le fit sortir de celle-ci. Une voix qui venait d’annoncer que l’île était en vue. Aussitôt l’île en vu, presque tout les marines ce mirent à l’avant du bateau. Les deux colonel regarder comme s’ils n’avaient jamais vue une île tandis qu’un autre homme qui semblait déjà beaucoup plus digne de respect lui regarder avec un regard perçant, comme s’il voyait des choses que seul lui peut voir, ce regard était très plaisant pour Dante, il voyait qu’il n’avait pas affaire a n’importe qui. C’est même d’ailleurs cette homme ci qu’on surnomme le Maître du Ciel qui descendit le premier du bateau. Le suivirent une poigner d’une vingtaine d’homme. Les deux colonel qui semblait ne pas vouloir trop ce salir lui demandèrent de faire un petit tour de patrouille avec ses hommes. Aussitôt il partit avec les hommes qu’ils descendirent en même temps que lui du navire. Son regard une fois de plus montrer clairement qu’il n’avait pas fait sa sous l’ordre des colonels mais pour la sécurité du reste des marines. Après avoir fait un petit tour sous la pluie qui ne semblait pas vouloir s’arrêter il revint faire son rapport et ensuite les troupes commençaient a faire les campements. Dante lui se ficher pas mal d’être mouiller le seul désavantage qu’il aurait de combattre sous la pluie aurait était qu’il pèserait plus lourd et que sa précision serait un peu moins efficace mais bon une fois de plus il prenait sa pour un défis et à vrai dire il ne savait même pas si des révolutionnaires allaient vraiment sortir de quelque part puisque durant le tour de patrouille du Vice-lieutenant aucun révolutionnaire ni signe de vie fut repéré. Sous cette pluie torride il vit un homme avec un sabre sur le dos venir vers lui. C’était encore lui, le Maître du Ciel. Il venait vers le sous-lieutenant mais ce qui plaisait au Red Devil en lui c’est que malgré son rang supérieur au sien il ne prenait aucun aire supérieur. Bref une conversation aller s’engageait entre les deux hommes qui semblait s’appréciait mutuellement…

Sengoku marcha à travers le camps afin de rejoindre un de ses camarade, lui aussi était sous-officier, mais contrairement à Sengoku, son camarade n'avait pas le même grade que lui, Sengoku occupait le poste de Vice-lieutenant, tandis que son ami était un Sous-Lieutenant, même s'il n'était pas du même grade, Sengoku et ce dernier était sur un pied d'égalité. Tout deux des combattants d'exception, il servait la marine avec fierté et s'était retrouvé embarquer dans cette mission suite à la demande de l'Etat Major. La mission ne semblait pas être une opération de grande envergure vu le nombre de personne affecter et les dirigeants de la mission. Arrivant devant son camarade, Sengoku remarqua que lui aussi avait un sabre, un bretteur comme lui-même, ce n'était pas le moment de penser de cela, mais Sengoku se dit en lui-même que quand la mission serait finie il voudrait échanger quelques coups de sabre avec lui afin de tester son niveau de bretteur. Sengoku baissa les yeux afin de ne pas fixer trop son compagnon, mais il s'agissait en même temps d'un signe de respect, car même s'il était plus haut gradé que The Red Devil, il ne s'était jamais pris pour un boss où même supérieur aux autres. Mouillé de la tête au pied, Sengoku se posa sur une chaise et retira son kimono blanc afin de ne pas attraper une maladie l'or de cette mission. Attrapant une tasse de thé chaude, à qui pouvait appartenir cette tasse, il ne le savait pas, mais il en avait vraiment besoin afin de se réchauffer. Afin de briser la glace, Sengoku décida de parler le premier, il n'avait vraiment rien à dire, mais parler était quand même la meilleure des choses à faire par temps de pluie.

Sengoku Basara :"sale temps pour une mission de reconnaissance hein ? Franchement, même moi je n'ai pas envie de partir chercher des révolutionnaires, j'ai déjà mouillé mon kimono, si je sors, je ne donne pas cher de ma peau, je pourrais très vite attraper un rhum. Atchoumm, voilà j'ai parlé trop vite, j'ai déjà cette fuc*** maladie, ah oé, à qui appartenait cette tasse de thé, car franchement il manque quelques carrés de sucre, je dirais deux sucres en plus et le thé est parfait."

Tandis que les deux hommes entamèrent leurs discutions, dehors, la pluie redoublait d'intensité, obligeant les soldats de la marine à rester dans leur campement et à remettre à plus tard leur mission. Levant sa tasse de thé, Sengoku bu une gorgée, puis une seconde, avant de poser sa tasse et de retirer son sabre de son dos, il le posa près de ses jambes et commença à retirer les bandages qui entouraient son sabre afin de montrer la qualité de la lame, mais aussi la spécificité de cette-ci, car Sengoku avait une arme très spéciale et unique à la fois, son arme se nommait "Samahéda" et était incapable de couper, non son arme ne pouvait que déchiqueter. Plantant son arme dans le sol, Sengoku regarda de nouveau son camarade et lui dit.

Sengoku Basara:"Toi aussi tu possèdes un sabre, si le temps nous le permet je voudrais qu'on échange quelques coups de sabre, avec un temps pareil il faut trouver une occupation afin de tuer le temps. Je ne sais faire que combattre et dormir, non franchement, je dirais trois, draguer, dormir et combattre."

Affichant un large sourire, Sengoku se leva et termina sa tasse de thé avant de faire comme de légers étirements. The Red Devil n'avait pas encore accepté qu'il se préparait déjà à combattre, combattre, non il allait seulement s'échauffer, car dans la marine se battre était interdit et même eux n'échappaient pas à cette règles. D'un coup un des colonels sortit et demanda où pouvait bien se trouver sa tasse de thé, ne voulant pas dire que c'était lui qui avait bu le thé, Sengoku pointa du doigt Devil afin de lui faire porter le chapeau, pourquoi avait-il fait une chose pareille, la réponse était simple, il ne voulait pas subir les remontrances où pire passer en correction disciplinaire pour avoir bu une simple tasse de thé, mais bon, il était quand même le supérieur du Devil, donc il pouvait bien accepter de porter le chapeau afin de couvrir son supérieur. Voyant la réponse du Vice-Lieutenant, le colonel se mit à crier et afin de ne pas être prit dans la crise du colonel, Sengoku se leva et se mit à partir avec son sabre et son kimono, vers la sortie de la tante afin d'en rejoindre une autre, mais avant de sortir, le colonel lui demanda où il pouvait bien aller, lentement Sengoku se tourna et lui dit qu'il allait prendre congés et qu'en cas de besoin il se trouverait de l'autre côté du campement, le colonel ne voyant pas le départ de Sengoku de cet oeil le chargea de sortir sous la pluie afin de prendre la relève de la surveillance. Voyant la réaction de son supérieur, Sengoku, envoya son kimono au-dessus de son sabre et sans enthousiasme, il se mit en route sous la pluie à son poste de surveillance.

*Franchement, toujours moi qui suis chargé de surveiller, ce gros il commence à me taper sur les nerfs. Il va falloir que je demande à être affecter dans un autre régiment, car ces deux-là ils vont très vite me donner la crève. Bon, allez direction le poste de surveillance au pas de course. Une peu d'action, alez un peu d'action, je ne veux pas rester sous la pluie comme un gland*

Dante alias The Red Devil était donc partie en mission sous les ordres du gouvernement. Il partie donc en compagnie de quelque officier, des matelots et deux imbécile de colonel. Le temps faisait peine a voir, un temps de chien comme on dirait. The Red Devil était donc tranquille dans une tante dans laquelle il venait d’entrée. Il était tranquille, c’était une tante où il ne semblait avoir personne, sauf une tasse de thé qui venait d’être servis. Dante vis ensuite au loin un officier arriver vers lui. Il s’agissait de Sengoku Basara. Un vice lieutenant de la marine. Mais cette homme était un homme respectable, car malgré son grade plus haut que celui de Dante, il ne prenait aucun aire supérieur. Il venait donc de traverser tout le camp et trouva une chaise pour s’asseoir sous la tante. Il sortie son katana du dos et le posa à côté de sa jambe. Il pris ensuite la tasse de thé qui se trouvait sur la table alors qu’elle n’était même pas à lui. Il regarda ensuite Le Red Devil et lui dit.

-sale temps pour une mission de reconnaissance hein ? Franchement, même moi je n'ai pas envie de partir chercher des révolutionnaires, j'ai déjà mouillé mon kimono, si je sors, je ne donne pas cher de ma peau, je pourrais très vite attraper un rhum. Atchoumm, voilà j'ai parlé trop vite, j'ai déjà cette fuc*** maladie, ah oé, à qui appartenait cette tasse de thé, car franchement il manque quelques carrés de sucre, je dirais deux sucres en plus et le thé est parfait.

A cette instant Dante compris qu’il avait dit sa juste pour engager la conversation. Ce n’était pas vraiment un sujet qui lui tenait à cœur ou quelque chose comme sa. C’est vrai après tout qui aimerait parler de thé, de carrés de sucre ou encore de Rhume sérieusement? Personnellement Dante ne voyait pas grand monde. Mais le jeune sous-lieutenant n’eût même pas le temps de répondre que Sengoku repris en disant.

-Toi aussi tu possèdes un sabre, si le temps nous le permet je voudrais qu'on échange quelques coups de sabre, avec un temps pareil il faut trouver une occupation afin de tuer le temps. Je ne sais faire que combattre et dormir, non franchement, je dirais trois, draguer, dormir et combattre.

Ah lala décidément cette homme était étrange. Un coup il parle de Sucre de Rhume etc.. et un autre coup il parle de combat singulier entre deux marine. Dante n’arriver vraiment pas a comprendre ce type, surtout qu’il avait toujours le sourire au lèvre ce qui avait souvent tendance a agacer. Mais vraiment le coup de théâtre fut quand le colonel entra dans la tante en demandant qui avait bu sa tasse de Thé. The Red Devil lui s’en moquer un peu mais Sengoku lui aussitôt que le Colonel c’était plaint accusa Dante d’avoir bu cette tasse de thé et le pire c’est qu’il voulu ensuite se tiré en douce. Le colonel aussi stupide qu’il soit pu quand même le voir et il lui dit qu’il devait surveiller dehors sous la pluie. Sa t’apprendra pensé Dante. Le colonel se tourna ensuite vers lui et lui demanda pourquoi il avait bu sa tasse au lieu de partir s’en cherché une lui-même. Dante tout en restant calme avec un regard montrant qu’il se fouter totalement de ce qu’il pouvait dire répondit que son thé à lui sembler particulièrement délicieux. Le colonel fou de rage l’envoya aussitôt faire la surveillance avec Basara. C’est exactement ce que The Red Devil attendait. Il comptait bien se venger de ce coup de P*** que venait de lui faire le Vice-Lieutenant. Une fois dehors il partie aussitôt le voir et il lui dit.

-Tu voulais qu’on échange quelque coup de sabre? Ok on va les échangés mais sache que après ce que tu m’as fait je ne compte pas te faire de cadeau.

Aussitôt Dante sortie son immense épée du dos regarda son adversaire dans les yeux.

-C’est partit!

Le combat aller commençait. Le sous lieutenant ne fit même pas attention de voir si son adversaire était prêt ou pas, la seul chose qu’il voulait dorénavant c’était se battre…

C'est donc sous la pluie que Sengoku allait devoir rester afin de faire de la surveillance, la protection du camp semblait être une priorité pour les colonels, mais une corvée pour notre sous-officier. Sous une pluie démentielle, Sengoku fessait les cent pat et sentit monter en lui un rhumatisme. Ennuyante, voilà comment s'annonçait la journée du soldat, jamais il n'avait été affecté à une tâche aussi ingrate, non jamais, même dans ses missions dite mineurs, ses supérieurs n'avaient jamais utilisée ses capacités dans de la simple surveillance. N'ayant autre chose à faire que de faire ce pourquoi le colonel l'avait envoyé faire, Sengoku marchait en attendant de voir si une touche de piment allait ou pas mettre de l'action dans cette partie de galère. Alors que Sengoku se posa sur une dune de sable qui commençait à se transformer en canal et qui transportait l'eau de pluie vers la base, un homme fit son apparition, comme Sengoku l'avait imaginé, il s'agissait du Red Devil, encore lui, suivait-il notre héros, enfin une chose était certaine, il n'affichait pas un air très joyeux, comme si la blague que Sengoku lui avait faite quelques minutes auparavant. Quelle avait été la sanction que lui avait infligé le colonel furieux, Sengoku ne le savait pas, mais à la façon dont ce dernier s'approchait, il n'allait pas tarder a le découvrir. Sabre à la main, Devil avançait sans même avoir une once de peur, voyant cela, Sengoku se dit que la petite proposition qu'il avait faites à Devil avait porté ses fruits, mais pourquoi affichait-il un air aussi sérieux, Sengoku l'avait invité à un simple combat amical et non à un duel à mort et donc il en conclure cela résultait directement de la sanction qu'il avait dû recevoir quand le colonel décida de le punir pour avoir bu son thé.

Sengoku basara :"Heu, je t'ai invité à échanger des coups de sabre ? Ha bon ? Alors je ne me rapelle pas désolé, laisse-moi le temps de réfléchir..... Non désoler je ne me rapelle pas t'avoir défier, mais si tu veux vraiment te battre ce sera pour une autre fois, car pour le moment j'ai un travail à faire et si tu n'as rien d'autre à faire, alors joint toi à-moi, le temps passera plus vite quand on a de la compagnie. Heu je t'ai fait quelques choses ? Je pense que tu te trompes de personne, désoler, mais je ne suis pas ton homme."

Sans même avoir le temps de terminer sa phrase, Devil passa à l'attaque forçant par la même occasion Sengoku à se défendre, son adversaire était sérieux et la seule chose qu'il voulait était l'affrontement etSengoku aurait beaucoup de mal pour dissuader Devil de calmer ses pulsions combatives. Grâce à un mouvement aérien, Sengoku évita la première attaque de son adversaire, mais comme il avait décidé d'esquiver au dernier moment, quand il atterrit, un bout de son kimono fut déchiré et tomba sur le sol, rien de méchant, mais voilà le combat avait été lancé. Sengoku décida à son tour d'utiliser son sabre, maintenant les deux hommes allaient pouvoir combattre sur un pied d'égalité, enfin pour le moment Devil avait l'avantage, car il avait réussi à marquer un point, mais il ne s'agissait que de la première manche et elle était loin d'être terminé. Retirant les bandages qui couvrent son sabre, Sengoku commença à faire quelques légers étirement rapide afin de se mettre en étant pour le combat et sous cette pluie il ne fallait pas faire de mauvais gestes et tomber sur le sol comme une vieille chaussette. Maintenant l'heure était à la riposte pour notre Sous-officier, Sengoku, se baissa et posa son sabre au niveau de son épaule et d'un coup se lança sur une sorte de sprint en zigzag afin de ne pas montrer à son adversaire la trajectoire qu'il empruntait afin de l'atteindre, puis d'un coup, il fit basculer son sabre de son épaule à vers le sol afin de le planter et de se propulser, puis une fois en l'air, il se mit à tourner sur lui-même ce qui lança de petits déchirement d'air tranchant et qui se dirigeait vers l'adversaire, mais pas uniquement lui, car cette technique n'était pas très précis, en tournant, Sengoku perdait toute précision sur sa technique ce qui laissait quand même pas mal d'ouverture à son adversaire, mais par la même occasion l'assurait d'une attaque de masse qui attaquait un peu partout et pouvant faire un maximum de dégâts. Une fois l'attaque terminé, le mélange de sable et d'eau de pluie leva un peu de poussière, mais avec le temps qu'il fessait, cette attaque leva une sorte d'atmosphère assez lourde. Sengoku retomba sur le sol, se baissa et recula de deux pat afin de voir si son attaque avait touché son adversaire où non.

Sengoku Basara :"Ceux qui ne connaissent pas la peur n'ont pas le droit de se tenir sur un champ de bataille. Non je rigole, il m'arrive souvent de faire des phrases philosophiques, allez dit moi que ma petite attaque ne t'a pas tué, allez sort de cette amas de poussière. "

Attendant de voir ce qu'il advenait de son adversaire, Sengoku restait debout prêt à se défendre au cas où son adversaire tenterait une attaque surprise en usant de l'atmosphère lourde et poussiéreux. Au même moment, le colonel qui avait envoyé les deux hommes surveiller se mit à chercher un objet qu'il avait perdu dans sa tente, il s'agissait en réalité de biscuit, hé oui après avoir bu le thé, Sengoku avait très discrètement prit aussi les biscuits qui se trouvaient près de la table où il avait subtilisé le thé, alors en attendant de voir si son adversaire était toujours d'attaque, Sengoku sortit un biscuit et le mit dans sa bouche, certes cela était une faille dans un combat, mais son adversaire serait-il capable de profiter de cette faille, mais bon, manger un biscuit ne prenait que quelques secondes, donc l'intervalle laisser entre le moment où il mangeait le biscuit était très mince.

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